Les PDG analysent les nouveaux marchés et discernent les tendances, deux tâches que l’IA pourrait mieux faire. Ils passent des heures à communiquer avec leurs collègues, une activité en voie d’être automatisée par des générateurs de voix et d’images. Ils doivent parfois prendre des décisions difficiles : qui, mieux qu’une machine, est capable d’agir sans émotion ?
Enfin, ces gens sont très bien payés. Les remplacer par une machine permettrait des économies.
Le PDG est menacé par l’IA, tout comme le rédacteur en entreprise et l’agent du service à la clientèle. Les usines sans éclairage ni personnel pourraient bientôt avoir un équivalent au sommet de l’entreprise : le bureau du PDG sans éclairage ni PDG… Source